International Lawyers Associates est le premier cabinet d’avocats en Italie et en Europe en termes d’assistance juridique sur les questions relatives à l’extradition, au mandat d’arrêt européen, à la commission rogatoire internationale et à tous les événements liés à des aspects de la coopération judiciaire entre les pays et les forces de police comme Interpol.

L’expérience de nos avocats de maintenant vingt ans puise ses racines dans la participation à de nombreux procès, intentés à des accusés célèbres et associés à des associations criminelles, qui ont permis d’engager plus avant la coopération pour l’investigation entre les autorités judiciaires de différents pays. Le cabinet ne traite pas seulement des demandes de remise de prisonniers vers et en provenance de l’Italie, mais aussi des demandes d’extradition vers et en provenance des pays tiers, qu’ils soient à l’intérieur ou à l’extérieur de l’Union européenne. Le réseau européen et mondial de nos bureaux – et les études associées à ILA – permet de suivre les vicissitudes de chaque client, dans le bilatéralisme le plus complet et avec la plus grande rapidité et la plus grande efficacité.

L’avocat Alexandro Maria Tirelli, coordinateur de International Lawyers Associates, non seulement participe directement aux défenses pénales impliquant la coopération judiciaire internationale, mais il dicte les lignes de défense par l’intermédiaire des collègues, assistants, associés et partenaires qui entrent en contact avec le détenu et / ou le client assisté. Les stratégies de défense sont toujours sélectionnées par l’avocat Tirelli au premier chef, et, grâce à sa connaissance directe de l’espagnol, du portugais, du français et de l’anglais, il peut entrer en relation personnellement avec le client, ainsi qu’avec les autorités judiciaires locales qui poursuivent l’accusé, qu’il se trouvent en Europe, en Amérique du Sud ou aux Etats-Unis.

Me Tirelli s’est occupé de procès très connus du grand public qui ont mis en cause des questions internationales délicates telles que l’arrestation depuis / à l’étranger : il suffit de penser aux militaires uruguayens et argentins, appelés devant la Cour de Rome dans le cadre du processus mis en place pour les exécutions de masse au détriment des dits « desaparecidos » d’origine italienne ; on pense aussi au procès du dictateur du Panama, le général Manuel Noriega, à la demande de l’Italie, pour l’assassinat du ministre Ugo Spadafora. Me Tirelli a également été consultant et chroniqueur pour la chaîne de télévision indienne « Times of India » et a suscité des luttes épiques contre des membres du Parlement de New Delhi, pour exiger la libération de soldats de la Marine italienne, Massimiliano Latorre et Salvatore Girone, détenus par le gouvernement de la nation asiatique sur l’accusation d’avoir assassiné des pêcheurs indiens, au cours des activités de patrouilles maritimes qui protègent les navires marchands italiens qui transitent par l’océan Indien.

International Lawyers Associates est le premier cabinet d’avocats en Italie et en Europe, pour tous les événements qui ont trait au droit pénal international, et qui pourraient de quelque façon que ce soit porter atteinte aux personnes physiques ou morales. L’avocat Tirelli a également été consultant auprès des organismes gouvernementaux et de l’État. L’activité de conseil, à côté de celle de la plaidoirie, le cas échéant, se référera à toutes les règles juridiques – en matière notamment d’usages, de conventions et de traités entre les pays, tant bilatéraux que multilatéraux (on pense aux accords pour l’exécution de la peine à l’extérieur dans le pays d’origine du délinquant).

Le droit pénal international est caractérisé par le fait d’être un ensemble de normes par lesquelles la législation nationale prévoit, en ce qui concerne les affaires pénales, de résoudre les problèmes qui se posent à l’État en raison de sa coexistence avec d’autres Etats souverains, dans le cadre de la communauté internationale.
Lorsque nous parlons de l’extradition, nous entendons par-là la remise des nationaux, accusés ou condamnés, aux tribunaux d’un autre pays, afin d’être disponibles pour subir une procédure pénale ou bien la mise en œuvre de la mesure restreignant la liberté personnelle. Comme toutes les relations avec les autorités étrangères relatives à l’administration de la justice en matière pénale, y compris l’extradition, elles sont régies par la Convention européenne d’entraide judiciaire en la matière, signée à Strasbourg le 20 Avril 1959, parmi les autres dispositions des conventions internationales en vigueur pour l’Etat et les normes du droit international en général.
Du moment où ces sources primaires se trouveraient faire défaut et seulement dans ce cas, est appliquée la législation, qui de cette manière et à l’égard de ces sources, revêt un caractère tout à fait résiduel et accessoire.

Les nouvelles dispositions sur le mandat d’arrêt européen et sur les procédures de remise entre États membres ont été lancées par le Parlement italien avec la loi n° 69 du 22 Avril 2005 et la mise en œuvre de la décision-cadre du Conseil européen.
Cette mesure est appliquée conformément aux principes suprêmes de l’ordre constitutionnel concernant les droits fondamentaux, à la liberté et à un procès juste.
Le mandat d’arrêt européen se définit comme « une décision judiciaire émise par un Etat membre de l’Union européenne, en vue de l’arrestation et de la remise de la part d’un autre pays membre d’une personne, en vue de l’exercice d’actions judiciaires en matière pénale ou de l’exécution d’une peine ou d’une mesure de sécurité privative de liberté personnelle ».
La Cour d’appel sera celle du ressort où l’accusé ou la personne condamnée réside, la demeure ou le domicile au moment où la décision est reçue par l’autorité judiciaire qui a le pouvoir d’exécuter un mandat d’arrêt européen.