Le cabinet d’avocats, et ses membres les plus anciens, par leur histoire, se sont développés dans le sillage de l’école pénale napolitaine, en participant aux procès les plus délicats, devant toutes  – et nous disons bien toutes – les Autorités judiciaires du pays, à savoir l’ensemble des ressorts, degrés et juridictions.

Il n’est pas de tribunal en Italie où les avocats de  International Lawyers Associates n’aient fait montre de leur profonde expérience dans la défense des questions liées à ce qu’on appelle le droit pénal carcéral.

Le cabinet examine toutes les questions et défend tous les chefs d’accusation : du terrorisme aux délits contre l’Administration publique ; des infractions commises contre le secteur public, l’industrie ou le commerce à celles commises contre la propriété, la famille et la personne.
Notre participation à d’importants procès ayant eu un retentissement dans les médias est bien connue, tout comme la défense que nous avons menée de personnes accusées de infractions politiques et de crimes contre l’administration de la Justice.

En dépit d’une longue expérience dans les salles d’audience de la Cour d’assises et des maxi-procès, où ont comparu à la barre des associations de malfaiteurs entières, la plupart du temps de la Camorra et de la Mafia, la politique du cabinet d’avocats ne prévoit l’acceptation de la charge de la défense dans les procès pour homicide, qu’à la condition exclusive que soient satisfaites certaines conditions nécessaires : la défense est systématiquement assurée pour des événements liés au phénomène plus large du crime organisé ; pour les questions relatives à des épisodes extraordinaires de l’individu seul, en particulier lorsqu’ils sont soumis à l’attention des médias et des journalistes, la ligne des membres fondateurs de International Lawyers Associates, et en particulier du coordinateur de l’étude, Me Alexandro Maria Tirelli, est d’éviter toute dramatisation inutile du procès pénal.

Le siège des affaires judiciaires est la salle d’audience, pas la télévision ou la presse à sensations. Compte tenu de la délicatesse de ce genre de questions et des perspectives de graves sanctions en cas de condamnation de l’accusé, le cabinet d’avocats n’est prêt à mobiliser ses ressources humaines et professionnelles, que si l’effort consacré à la défense est bien honoré, étant donné que ce type d’engagement professionnel a tendance à absorber un temps énorme, au détriment des autres positions défensives et compte tenu de l’extrême prudence avec laquelle l’équipe d’avocats pénalistes fait face à tous les aspects de ces événements procéduraux.

Si les conditions énoncées ci-dessus sont remplies, les avocats de International Lawyers Associates participeront bien à la conduite des procès dans lesquels le défendeur est accusé d’homicide involontaire dans un accident sur la voie publique, d’homicide volontaire, prémédité ou par imprudence.

Une attention particulière est accordée à la nouvelle situation prévue par le législateur, dans la loi sur la sécurité routière : à savoir l’introduction depuis février 2015 des deux nouvelles infractions d’homicide et de lésions corporelles par accident sur la voie publique. Pour celui qui prend le volant en état d’ébriété ou après la prise de substances stupéfiantes, entraînant la mort d’une personne, la peine d’emprisonnement va de 5 à 12 ans. Si l’enquête prouve qu’il était lucide et sobre, mais que sa vitesse de conduite est deux fois supérieure à celle autorisée, la peine va de 4 à 8 ans. En cas d’homicide multiple, la peine peut être multipliée par trois, mais ne peut dépasser 18 ans. Sinon, est passible d’un emprisonnement de 6 mois à 2 ans toute conduite en état d’ébriété ou non lucide, qui provoque des blessures permanentes.