Le cabinet d’avocats international ILA dispose d’un département spécialisé dans la protection du statut personnel des personnes : notre personnel, en particulier, traite des demandes d’acquisition et de reconnaissance de la citoyenneté italienne, quand sont réunies les différentes conditions prévues par la loi.
Historiquement, la clientèle de International Lawyers Associates est représentée notamment par des citoyens américains, australiens, argentins, brésiliens, vénézuéliens, etc. qui revendiquent des ancêtres de nationalité italienne, qui ont émigré à l’étranger dans un passé plus ou moins lointain : on se réfère donc au principe juridique de la citoyenneté jure sanguinis.
La réalisation de nos dossiers de citoyenneté ne prend jamais plus de six mois et l’énorme avantage pour le requérant est bien clair, étant donné que la demande de reconnaissance par la voie consulaire suit une procédure moyenne qui varie de 4 à 7 ans d’attente.
La demande de citoyenneté jure sanguinis peut être réalisée tant par des moyens administratifs que par voie judiciaire. Le cabinet d’avocats, par le biais de ses bureaux à l’étranger, peut obtenir dans un très court laps de temps les actes d’état civil nécessaires, les annotations et les registres des bureaux de l’état civil étrangers ; le cabinet d’avocats s’assure ensuite de réaliser les formalités de légalisation des documents, ainsi que l’apposition de l’Apostille de La Haye sur les certificats, ainsi que l’exécution des traductions certifiées.
Il y a aussi d’autres cas où l’octroi de la citoyenneté est permis : l’un d’entre eux est le mariage avec un citoyen italien.
Le citoyen étranger ou apatride qui épouse un-e citoyen-ne italien-ne, peut demander la nationalité italienne en résidant légalement en Italie depuis au moins 12 mois, lorsque les époux ont des enfants biologiques ou adoptifs. La même demande peut être faite après 24 mois de résidence dans le cas d’absence de progéniture.
Cependant, lorsque le couple réside à l’étranger, les délais sont de : 18 mois (un an et demi) en présence d’enfants biologiques ou adoptifs, ou 36 mois (trois ans) après la date du mariage (s’il n’y a pas eu résiliation, annulation ou cessation des effets civils et si vous n’êtes pas en cours de séparation).
La nationalité italienne peut également être demandée en raison de la résidence prolongée du demandeur sur le territoire de la République.
La demande de la nationalité italienne est recevable si celui qui  la formule est un citoyen étranger né en Italie, ou un citoyen d’un pays de l’UE ou en dehors de l’UE, apatride ou réfugié, résidant en Italie, mais à la condition de répondre aux exigences suivantes :
10 ans de résidence légale en Italie pour les citoyens non européens ; 3 ans de résidence légale en Italie pour les descendants de citoyens italiens par la naissance (jusqu’au deuxième degré : les grands-parents) et pour ceux qui sont nés en Italie ; 5 ans de résidence légale en Italie pour les adoptés majeurs (de citoyens italiens), les apatrides et les réfugiés politiques et pour les enfants adultes de parents italiens naturalisés ; 4 ans de résidence légale en Italie pour les citoyens européens ; 5 ans de service, même à l’étranger, rendu à l’État italien.
N.B. : Dans tous les cas, il est obligatoire de justifier d’un revenu personnel ou familial, dont l’évaluation est à la discrétion du Ministère de l’Intérieur, sur une période d’au moins 3 ans, antérieurement à la date de la demande.
En outre, la loi prévoit des cas particuliers d’acquisition de la nationalité : rendu d’un jugement d’adoption par ordonnance du Tribunal ; service rendu à l’État italien ; certificat de reconnaissance du statut de réfugié politique ou d’apatride.